lundi, avril 17, 2006

Est-ce que mieux vaut tard que jamais?

C’est quand même une bonne question. De plus en plus, les défenseurs de la guerre admettent qu’ils avaient tort. Apparemment, Colin Powell a admis que ni lui ni son ministère ne pensait que l’Iraq posait un danger d’armes de destructions massives. Il a aussi admis que les menaces nucléaires étaient infondées.

Fallait pas être un devin pour le savoir ; faut pas être un clairvoyant pour voir que les mêmes techniques sont utilisées pour l’Iran. Ce genre d’aveu est nécessaire – même si ça vient immoralement tard – pour peut-être éviter la même chose à l’avenir. Il faut se rappeler de ces moments quand dans un avenir proche les gouvernements – américain et autres – essaieront de nous faire avaler ces bêtises.

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