Contraplanification
Apparemment il y a un déclin incontestable de planification familiale chez les plus pauvres aux Etats-Unis. De 1994 jusqu’en 2001, alors que le nombre des grossesses imprévues a chuté de 20% pour les familles au dessus du seuil de pauvreté, il a augmenté de 30% chez les plus pauvres.
Le coût des méthodes contraceptives semble jouer un rôle clef. Le coût semble banal pour certains, mais il faut ajouter à la vingtaine de dollars par mois, la visite médicale, qui est bien coûteuse pour ceux qui n’ont pas d’assurances santé – les pauvres.
D’ailleurs, même ceux qui ont une assurance, on le sait bien, ne sont presque jamais remboursés pour la pilule. Pourquoi ? Parce que c’est considéré un choix personnel et non pas une nécessité médicale.
Encore mieux, Viagara est remboursé ! Pour les hommes, c’est une maladie dont il faut s’en soucier ; pour les femmes, c’est un choix ! (Le coût de Viagra apparemment est terriblement lourd pour les compagnies…)
Si ce n’était pas assez problématique, n’oublions pas que ces chiffres de grossesses couvre la période 1994-2001 – les années Clinton.
Le gouvernement Bush qui est ravi de dépenser des sommes astronomiques pour la guerre, n’hésite jamais à ou bien éliminer, ou bien financièrement handicaper les programmes « sociaux » qui aideraient à la planification familiale et à élever les enfants.
On sentira le dégât causé par ces « cut-backs » seulement dans dix ans, comme c’était le cas avec Reagan…
Le coût des méthodes contraceptives semble jouer un rôle clef. Le coût semble banal pour certains, mais il faut ajouter à la vingtaine de dollars par mois, la visite médicale, qui est bien coûteuse pour ceux qui n’ont pas d’assurances santé – les pauvres.
D’ailleurs, même ceux qui ont une assurance, on le sait bien, ne sont presque jamais remboursés pour la pilule. Pourquoi ? Parce que c’est considéré un choix personnel et non pas une nécessité médicale.
Encore mieux, Viagara est remboursé ! Pour les hommes, c’est une maladie dont il faut s’en soucier ; pour les femmes, c’est un choix ! (Le coût de Viagra apparemment est terriblement lourd pour les compagnies…)
Si ce n’était pas assez problématique, n’oublions pas que ces chiffres de grossesses couvre la période 1994-2001 – les années Clinton.
Le gouvernement Bush qui est ravi de dépenser des sommes astronomiques pour la guerre, n’hésite jamais à ou bien éliminer, ou bien financièrement handicaper les programmes « sociaux » qui aideraient à la planification familiale et à élever les enfants.
On sentira le dégât causé par ces « cut-backs » seulement dans dix ans, comme c’était le cas avec Reagan…
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